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Le 14 mai prochain, Les Films de l’Europe célèbreront leur trente-trois ans au sein de l’auditorium Michel Debré de l’Institut National du Service Public. L’occasion pour la société de production strasbourgeoise de revenir sur le chemin qu’elle a parcouru depuis sa création, en 1991. 

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Voilà une date à entourer dans son agenda. Le mardi 14 mai prochain, à 19 heures, les Films de l’Europe seront en fête. Et pour cause, ils célèbreront leur trente-troisième anniversaire. Car c’est bien en 1991, que Jean-Luc Nachbauer, producteur et réalisateur, décide de créer sa société de production, qu’il a baptisé “Les Films de l’Europe”, en hommage au Conseil du même nom, avec lequel il a longtemps travaillé. 

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Une soirée pour remonter le temps

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A l’occasion de l’anniversaire de la société, l’équipe des Films de l’Europe souhaite faire vivre à ses convives une expérience singulière qui les fasse plonger dans le passé, pour mieux remonter le temps vers le présent. Des premiers courts-métrages réalisés par Jean-Luc Nachbauer dans les années 90, aux clips promotionnels signés Clément Nachbauer, en passant par les documentaires que père et fils ont eu le plaisir de co-signer pour ARTE, cette soirée s’annonce être une traversée temporelle sous le signe de l’audiovisuel. 

Il sera ainsi proposé une rétrospective des meilleures créations que les Films de l’Europe ont réalisées ou produites en Alsace, mais aussi ailleurs en France et dans le monde. Un véritable voyage à travers les années, les paysages et les saisons dans lequel seront embarquées les centaines d’invités que l’équipe des Films de l’Europe attend. 

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D’un Nachbauer à l’autre 

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Cette soirée anniversaire sera également l’occasion pour Jean-Luc Nachbauer de faire le bilan de ses trente-trois ans à la tête de cette société qu’il a lui-même fondée.

Depuis plus d’un an, Jean-Luc travaille désormais avec Clément, son fils, qui a tenu le rôle de chef-opérateur pour le documentaire “Alsace, terre de cigognes”, diffusé sur ARTE, et de réalisateur pour le clip “De l’épi au demi”, sorti en février 2024. Il tient le rôle récurrent de directeur de la photographie dans la majorité des productions et réalisations récentes des Films de l’Europe. 

Avec la signature cinématographique distincte de Clément, la collaboration entre le père et son fils a démarré avec succès, ouvrant ainsi la voie à une modernité assurée pour les Films de l'Europe à travers leurs futures productions.

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C’est un lancement qui invite à se faire mousser qu’a reçu notre clip « De l’épi au demi », mardi 27 février, au stand des Brasseurs de France du Salon International de l’Agriculture. En présence de diverses personnalités du monde brassicole, réunies pour découvrir notre court-métrage promotionnel, les appels à une diffusion large de celui-ci ont été unanimes.

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« Un véritable film filière »

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Retraçant les différentes étapes par lesquelles passe chaque bouteille de bière, notre film offre un réel tour d’horizon de la diversité du milieu brassicole et des acteurs qui y travaillent. Houblonniers, malteurs, brasseurs, biérologues, restaurateurs etc sont mis en lumière dans ce clip qui se veut être « un véritable film filière », comme l’a affirmé Magalie Filhue, secrétaire générale des Brasseurs de France, qui a appelé à une diffusion à grande échelle de cette vidéo de 2 minutes 35.

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Un film en cinq actes

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Mettant en valeur la bière de sa conception à sa consommation, en passant par son recyclage, notre clip a joué des quatre éléments que sont la terre, l’air, l’eau et le feu, pour dévoiler la bière comme la somme de ceux-ci. Pour Jean-Luc Nachbauer, producteur du clip et président des Films de l’Europe, « la référence aux quatre éléments a été faite pour permettre d’établir la bière comme le cinquième de ces éléments ».

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Réalisé sur trois saisons, l’été, l’automne et l’hiver, ce clip est un mélange de couleurs, d’ambiances et de visages, tel un échantillon de ce qu’est l’univers brassicole.

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Pour voir le clip, c'est juste ici !

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Un événement qui fait rêver chaque année des milliers de réalisateurs de tous horizons.

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Le Nikon Film Festival, qui depuis 2009 offre la possibilité à chacun de présenter un court-métrage de moins de 2 minutes 20 à un jury de prestige, a reçu cette année une production signée “Les Films de l’Europe”, intitulée Feu à volonté.

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Le feu dans tous ses sens 

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Pour son édition 2024, le Nikon Film Festival a imposé le thème du feu aux réalisateurs désireux de soumettre leur travail à l’appréciation du jury. Le feu dans son interprétation la plus large, dans sa définition la plus complète. Liberté était donc donnée à chacun de proposer une création audiovisuelle qui satisfasse à cette exigence. Dans le court-métrage “Feu à volonté”, produit par Les Films de l’Europe et réalisé par Olivier Arnold, cet élément avait toute sa place. Une place en constante croissance, indomptable et imprévisible, sans doute à l’image du réalisateur haut-rhinois avec lequel Les Films de l’Europe ont l’habitude de travailler. 

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Dans son court-métrage, Olivier Arnold nous propose de partager la fête d’anniversaire d’un homme d’un certain âge qui voit se multiplier les bougies inlassablement tandis qu’il tente, sans succès, de les éteindre à la seule force de son souffle fatigué. A ses côtés, se tient un accordéoniste quelque peu sarcastique, qui s’amuse de la situation qui rend fou le vieil homme. La scène tourne finalement au drame lorsque, pris d’une folie passagère, le souffleur de bougie décide de mettre un terme à cette mascarade. 

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Pour voir le film, cliquez ici !

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Fort de son succès, le Nikon Film Festival a attiré cette année un peu moins de 3000 films, tous désireux d’être parmi les cinquante qui seront retenus le 10 avril pour la finale.

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Un troisième court-métrage avec Olivier

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C'est maintenant la troisième collaboration avec Olivier Arnold. Les deux premières, actuellement en tournée dans divers festivals s'intitulaient "Un dernier tour de Piste" et "Albert, Socrate et moi".

"Soutenir des artistes indépendants, c'est aussi l'une de notre mission" dit volontiers Clément Nachbauer, chef-opérateur au sein des Films de l'Europe, avant d'ajouter en rigolant "surtout quand ils sont aussi fêlés qu'Olivier". 

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